Le marché de l’automobile aujourd’hui est en pleine explosion. Les acheteurs tous plus fougueux les uns que les autres. Les vendeurs tous plus astucieux les uns que les autres. Dans ce beau monde, il faut savoir choisir. Lorsqu’on veut acheter son véhicule, il y a des paramètres à vérifier. Il faut donc prendre les précautions d’usage et agir en professionnel.
Voici donc les étapes à suivre.
Recherchez attentivement
C’est ce qui vous permet d’éviter les pièges de l’arnaque. Recherchez et comparez les prix des véhicules qui vous intéressent. En fouillant, vous découvrirez toutes les gammes de prix. Un véhicule vendu trop bas n’est pas toujours une bonne affaire. Le plus simple est de faire appel a un professionnel comme onlydrive.fr
Interrogez le vendeur
Appelez le vendeur du véhicule et posez-lui toutes les questions essentielles. Il se doit d’y répondre avec précision et clarté. Au moindre comportement suspect, passez à quelqu’un d’autre.
Prenez rendez-vous
C’est l’occasion de voir le véhicule et l’essayer. C’est aussi le lieu de voir si le véhicule est conforme à l’annonce. Evitez d’aller aux rendez-vous la nuit. Idem pour les endroits reculés. Soyez accompagnés.
Vérifiez les documents
Demandez à voir tous les papiers de la voiture sans exception. Carte grise et visite technique. Pareil pour le carnet d’entretien et les différentes factures.
Inspectez le véhicule et conduisez-le
Vérifiez l’état externe du véhicule. La peinture et les pneus. Les portières, le coffre et le capot. A l’intérieur, essayez les vitres, la radio et la climatisation.
Ensuite faites un tour en voiture avec le vendeur. Posez-lui toutes les questions. Montrez lui que vous savez de quoi vous parlez.
Malus et taxes C02 pour les véhicules d’occasion
L’utilisation des énergies fossiles dans l’automobile à des conséquences sur la nature. Le réchauffement de la planète est en effet au cœur des préoccupations de plusieurs pays. Pour limiter voire stopper l’action néfaste de l’homme, certaines dispositions ont été prises. Au nombre de celles-ci, nous pouvons citer les taxes à caractère écologique comme l’écotaxe.
La taxe écologique se décline sous plusieurs angles. D’un côté, elle gratifie les usagers qui optent pour des véhicules non polluants. D’un autre, elle punit et décourage les utilisateurs de véhicules d’occasion polluants. En effet, ces taxes se calculent par rapport au taux d’émission de co2 du véhicule utilisé. L’écotaxe est de plus en plus sévère au fil des années. L’objectif est donc de pousser les usagers à se tourner vers les énergies renouvelables.
Le malus est fixé proportionnellement par rapport à l’émission de votre véhicule. Plus l’émission est élevée, plus grande est la taxe.
Pourquoi taxer les véhicules d’occasion ?
Les voitures d’occasion sont principalement composées de moteur à explosion. Quel que soit le moyen utilisé, il s’en échappera du co2. La tendance montre aussi que beaucoup de personnes se tournent vers les véhicules d’occasion. C’est d’ailleurs à cause de leur prix très abordable. Les véhicules propres sont donc délaissés au profit de ceux moins chers. Le risque de pollution est donc élevé. C’est pour décourager ce genre de pratique que l’état a instauré les taxes co2.
Barème 2018 du malus des véhicules d’occasion
Comme toutes les autres taxes pollution, le malus véhicules d’occasion a augmenté. En effet, il durcit un peu plus chaque année. Désormais à l’établissement de la carte grise, le cheval fiscal du véhicule est pris en compte. C’est un facteur important de la taxe co2. Lorsque la puissance fiscale de votre véhicule est inférieure ou égale à 9, vous êtes exonéré de cette taxe.
Par contre lorsque la puissance est inférieure ou égale à 11 cv la taxe s’élève à 100 euros. Elle est de 300 euros pour une puissance supérieure à 11 cv et inférieur ou égale à 14. Le propriétaire d’un véhicule dont la puissance fiscale est supérieure à 14 est obligé de verser une somme de 1000 euros.
Le malus est inclus directement dans les coûts d’établissement de la carte grise. Il existe quand même une circonstance qui atténue cette taxe sur les véhicules d’occasion. La taxe est diminuée d’un dixième par an à compter de la date de première immatriculation du véhicule.